Le jeu de jambes de Charlotte d'Ornellas

Les jambes de la journaliste Charlotte d’Ornellas sont deux flèches plantées dans le cœur des droitards de valeur.

Femme de taille dans une France qui défaille, elle constitue le dernier rempart contre un journalisme en bazar.

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Et à l’heure où le chancre du wokisme ronge l’espace politico-médiatique, elle continue encore de proposer une ligne éditoriale conservatrice.

Elle est même perçue par certains FAFs comme la dernière Jeanne d’Arc du PAF.

Une carrure johannique qui est en rupture avec la post-modernité woko-fémino-écologique.

À mesure que l’Occident se déchristianise, rares sont les personnalités publiques qui assument leur cathophilie dans l’arène médiatique.

Et la chroniqueuse sur Europe 1 est un oasis civilisationnel au milieu d’un désert spirituel.

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Sa « tribu », celle des « Ornellasiens », n’est peut-être pas la plus volumineuse, mais elle reste l’une des plus engagées.

Parmi ces derniers, un certain nombre s’interroge par exemple sur sa vie privée.

Très discrète à ce niveau-là, on ne connaît pas encore le nom de « Monsieur d’Ornellas », dans la mesure où un tel compagnon existerait.

On ignore donc si elle est en couple avec une figure droitarde du « milieu ».

On imagine, en tout cas, qu’elle n’a jamais punaisé un portrait d’Usul ou de Jean-Luc Mélenchon au-dessus du lit conjugal

Charlotte d'Ornellas Jambes
Conference ISSEP avec Marion Marechal, Geoffroy Lejeune et Charlotte d’Ornellas. (© Capture d’écran | Chaîne d’ISSEP Lyon sur YouTube)

Mariée à la France éternelle, elle poursuit son sacerdoce d’éveilleuse des consciences.

Ce qui fait d’elle le « gibier » des déconstructeurs de tout poil.

Et qu’importe les Waterloo électoraux pourvu qu’on se rapproche de la libération du joug des turbo-libéraux.

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