Le Docteur Charlotte d'Ornellas au chevet d'un journalisme malade
Chaque matin, le Docteur Charlotte d’Ornellas se rend au chevet d’un journalisme malade sur les plateaux d’Europe 1.
Rongés par le chancre du wokisme de combat, les Français trouvent dans ses homélies johanniques un îlot de bon sens.
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Et à l’heure où les statues de nos héros nationaux se déboulonnent comme des trombones, elle pose son trombinoscope de guerre sur le torse de notre passé multi-séculaire.
Pour le moment, le remède à tous nos maux complexes n’a pas encore été trouvé.
Mon cousin. Il y a quelques personnes :Charlotte d'Ornellas Celine Pina, Michel Onfray, M Trevidic, E Zemmour qui témoignent encore que l'étincelle de vie d'intelligence de lumière sommeille encore quelque part au cœur d'une France bien malade
— sigismond🎶🎼🎻🇨🇵 (@ClPeqt) December 19, 2020
Peut-être qu’il s’agirait d’abord d’établir un diagnostic fiable.
Souffrons-nous collectivement du cancer de la culpabilité post-coloniale ?
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Ou bien avons-nous une tendinite patriotique ?
Au final, qu’importe la maladie pourvu qu’on emprunte le chemin de la guérison.
D’où l’intérêt d’avoir des ambassadeurs de la droito-patriosphère sur les antennes publiques.
Sortir des caves de la réinformation mémorielle est plus que nécessaire.
Et la chroniqueuse de Valeurs Actuelles nous offre quotidiennement un bol d’air.
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Sans elle, nous serions gavés du pâté idéologique importé du Wokistan étasunien.
C’est en occupant le terrain qu’on change les esprits du plus grand nombre.
La clandestinité métapolitique n’est plus suffisante.
L’occupation des grands médias doit devenir notre nouvelle « guérilla ».