La "Rivarolophobie" de Tristan Mendès France

Complophobe assumé sur Twitter, le chroniqueur Tristan Mendès France est devenu l’« ennemi public » numéro 1 des Rivaroliens de tout poil.

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Ces derniers, à terre et sans oxygène sur un plan financier, se sont progressivement enlisés dans les marécages des procédures judiciaires.

En effet, la boutique tenue par Jérôme Bourbon est devenue le « gibier » préféré des magistrats qui font payer cher chaque syllabe nauséeuse qui est pondue par ce canard déchaîné.

Le petit-fils de Pierre Mendès France mène une croisade contre les différents boutiquiers de la « crypto-complosphère ».

Ceux qui se présentent généralement comme des « combattants de la Vérité »  en vitrine pour mieux faire les poches des plus crédules en arrière-boutique.

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« TMF » tape donc là où ça fait le plus mal, à savoir au portefeuille.

Tristan Mendès France
(© Capture d’écran | Chaîne de FRANCE 24 sur YouTube)

En coupant les cordons de la bourse calomniatrice, il assainit un écosystème crypto-réinformationnel devenu toxique.

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Il contribue ainsi à « déRivaroliser » un journalisme qu’on croyait disparu depuis 77 ans.

À tel point que certains entrepreneurs de la haine le dépeignent presque comme une sorte de Fouquier Tinville 2.0, ennemi de la libre parole dans l’espace politico-numérique.

Ces derniers ne seraient-ils donc pas en train de devenir « Tristanophobes » ?

Les caricaturistes de la crèmerie rivarolienne vont même jusqu’à se glorifier en se peignant comme des Hermès des temps post-modernes…

Heureusement que le ridicule n’a jamais fait couler aucune carrière.

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