La "Rivarolophobie" de Tristan Mendès France
Complophobe assumé sur Twitter, le chroniqueur Tristan Mendès France est devenu l’« ennemi public » numéro 1 des Rivaroliens de tout poil.
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Ces derniers, à terre et sans oxygène sur un plan financier, se sont progressivement enlisés dans les marécages des procédures judiciaires.
En effet, la boutique tenue par Jérôme Bourbon est devenue le « gibier » préféré des magistrats qui font payer cher chaque syllabe nauséeuse qui est pondue par ce canard déchaîné.
Après la Une que m’a dédiée Rivarol, ma mère a retrouvé dans nos archives quelques vielles éditions d’il y a 67 ans vomissant sur mon grand-père. pic.twitter.com/xBlYJ3iRtx
— Tristan Mendès France (@tristanmf) June 9, 2021
Le petit-fils de Pierre Mendès France mène une croisade contre les différents boutiquiers de la « crypto-complosphère ».
Ceux qui se présentent généralement comme des « combattants de la Vérité » en vitrine pour mieux faire les poches des plus crédules en arrière-boutique.
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« TMF » tape donc là où ça fait le plus mal, à savoir au portefeuille.
En coupant les cordons de la bourse calomniatrice, il assainit un écosystème crypto-réinformationnel devenu toxique.
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Il contribue ainsi à « déRivaroliser » un journalisme qu’on croyait disparu depuis 77 ans.
À tel point que certains entrepreneurs de la haine le dépeignent presque comme une sorte de Fouquier Tinville 2.0, ennemi de la libre parole dans l’espace politico-numérique.
Ces derniers ne seraient-ils donc pas en train de devenir « Tristanophobes » ?
L’énergie que met ce torchon antisémite à essayer de salir ses contradicteurs…
— Tristan Mendès France (@tristanmf) July 26, 2022
C’en est presque touchant.
J’hésite à reprendre cette caricature en profil. pic.twitter.com/EIZZpfBey4
Les caricaturistes de la crèmerie rivarolienne vont même jusqu’à se glorifier en se peignant comme des Hermès des temps post-modernes…
Heureusement que le ridicule n’a jamais fait couler aucune carrière.