Stéphane Édouard et son Aurora 998

Homme à femmes décomplexé, Stéphane Édouard aime à s’entourer dans ses vidéoscopies d’assistant.e.s, qu’il appelle ses « Aurora ».

N’hésitant pas à s’auto-affubler du substantif de « misogyne tonique », ce mécanicien des relations homme-femme se plaît à cultiver cette subversion langagière à l’heure où l’Occident s’est enlisé dans les marécages du féminisme post-#MeToo.

Un style singulier qui trouve une large audience digne des plus grandes stars de la YouTubosphère.

Chacune de ses publications vidéoscopiques fait au moins 100 000 vues.

Un succès indiscutable qui fait criarder la petite horde bien-pensante des soldat.e.s du wokistan.

Bon, j'ai besoin d'une Aurora* V2.0 (improved) à côté de Christophe. Candidatures ouvertes. Qualités requises : savoir compter, faire règle de 3, parler un français correct, écouter et répondre. Ps servir le café n'est pas une insulte quand quelqu'un l'a acheté et préparé avant.

— Stéphane Edouard (@HommesInfluence) September 10, 2020

Et malgré ses « effluves cacaotées », qu’il met régulièrement en avant sur sa chaîne YouTube, il n’échappe pas à leurs admonestations constantes.

Se décrivant comme « nègre pour la Furia » sur son compte Twitter, il joue subtilement cette carte victimaire pour éviter de finir cloué au piloris par le tribunal médiatique.  

Une sorte de « Taqiya » post-moderne à l’heure où de nombreuses vedettes masculines finissent parfois « excommunicado » de la scène politico-médiatique.

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Injustement écarté de l’émission Mariés au premier regard, produite par M6, il a depuis réussi sa transition sur le net grâce à la rigueur de ses analyses.

Ses « petits chatons » n’hésitent pas à dévaliser ses séminaires payants sur son site officiel, Homme d’influence (autrefois Spike Seduction).

Une marque qui a d’ailleurs été enregistrée à l’INPI (Institut National de la Propriété Intellectuelle) un certain 23 mai 2016.

Ce qui est la preuve du succès de ses affaires boutiquières, en plus de sa croisade contre les gardienn.e.s du temple du politiquement correct.

Sur ses réseaux sociaux (et associaux), il cumule désormais des dizaines de milliers d’abonnés.

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Et Twitter semble être l’espace où ses paroles d’évangile trouvent un écho retentissant.

Régulièrement sollicité par la gent féminine sur Instagram, est-il pour autant encore un cœur à prendre ?

Très discret sur sa vie privée, on ignore pour le moment si il existe une « Madame Édouard ».

On ne sait donc si pas si il est en couple ou si il a fondé un foyer.

Son ami Frédéric Delavier, grand expert de la calorie, espérait qu’il trouve un jour une « jolie petite » pour donner naissance à un « petit métisse ».

Une suggestion qui fait probablement écho à sa vidéo selfie du 2 janvier 2018, où il expliquait crânement qu’il ne voulait pas devenir père par absence d’« aménité ».

Ne se sentant pas capable de pardonner à son fils (ou à sa fille) de n’être qu’« anecdotique ».

On ne sait pas si il a depuis évolué sur ses positions.

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Peut-être qu’il a enfin trouvé une « Aurora génitrice » ?

Et c’est tout le bonheur qu’on lui souhaite.