Les origines "cachées" de Daniel Conversano
Heureux qui comme Daniel Conversano a réussi son expatriation en Europe centrale.
Le leader métapolitique des Braves est aujourd’hui une star parmi les doitards de France et de Navarre.
Une tête d’affiche que certains aiment à détester en l’affublant par exemple du substantif de « Narbonoïde ».
• À lire aussi: Gérard Fauré est-il un mythomane compulsif ?
Ou bien en le calomniant sur ses prétendues activités de proxénète roumano-moldavo-lituano-polono-ukrainien…
Des attaques diffamatoires sous la ceinture d’un homme qui en agace plus d’un dans la sulfureuse droito-facho-patriosphère.
À raison, car l’homme de 36 ans a réussi à fonder une communauté qui peut aujourd’hui se targuer de compter dans ses rangs des centaines de membres.
Ce qui immanquablement finit par sécréter quelques atomes de jalousie.
Et chaque mois, de nombreux « conversanophobes » mènent leur petite enquête sur les origines de son succès underground.
Mon père est italien, ma mère française.
— Daniel Conversano (@D_Conversano) June 6, 2020
Je suis fier d’être Européen, fier d’être qui je suis. Mes ancêtres ont construit une merveilleuse civilisation et se sont battus pour nous. Je les aime, j’aime ma famille.
N’ayez pas honte d’être blanc. C’est un honneur.#ProudtobeWhite pic.twitter.com/Wbx26G1VBo
Probablement pour le mimétiser un peu.
Même si, jusqu’à maintenant, personne n’a jamais vraiment réussi à l’égaler dans son style.
Car comme son patronyme peut le laisser deviner, l’auteur de Désolé Jean-Pierre a quelques ancêtres de l’autre côté des Alpes.
Italien de par son père, l’écrivain porte le nom d’une petite ville de 26 000 habitants, située dans la région des Pouilles.
Son prénom, Daniel, respecte parfaitement l’esprit de la loi napoléonienne du 1er avril 1803.
Une loi que l’ex-candidat Éric Zemmour aurait bien voulu restaurer en 2022…
Sur sa fiche Wikipédia, il est écrit noir sur blanc que ses deux parents sont lepénistes.
Né le 25 mars 1986 dans la ville iséroise d’Échirolles, il a donc baigné toute son enfance dans un lepénisme plus Jean-Marien que Mariniste.
Il aurait pu construire son identité politique par contre-mimétisme en devenant mélenchoniste.
Mais il a décidé, au contraire, d’honorer son « héritage » idéologique en épousant la pensée du « Menhir ».
Homme à femmes décomplexé, il n’hésite pas à s’afficher sur YouTube avec des créatures de Dieu ayant le visage d’un premier amour.
Il est sans conteste le playboy de la dissidence métapolitique francophone.
Un Maurras berlusconien en quelque sorte.
Ce succès évident avec la gent féminine renvoie probablement de nombreux droitards à leur propre médiocrité sur le plan sentimental.
• À lire aussi: Qui est la nouvelle compagne de Jean Messiha ?
Ce qui ne fait qu’accentuer leur aigreur qu’ils étalent à longueur de commentaires haineux sous pseudonyme.
Conversano leur sert, malgré lui, de défouloir.
C’est sa petite horde de mal-baisés… Voire même de pas baisés du tout.
Ping : Jean-Marie Corda: de nomade patriote à sédentaire cryptonaute
Ping : Alexis Issaurat: le Playboy de la "dissidosphère" est-il vraiment en prison ?
Ping : Qui est "Madame Conversana", la femme de Daniel Conversano ?
Ping : Daniel Conversano est-il devenu le Drucker de la "dissidosphère" ?
Ping : Narbonoïde: l'insulte célinienne par excellence des "FAFs" du net
Ping : L'Ukrainophilie (calculée) de Daniel Conversano depuis la Roumanie
Ping : Kublai: l'ancien russien devenu "mongolien"